Le commencement est un moment délicat. Mais le souvenir s’est perdu. Sachez néanmoins qu’il a commencé à l’indienne, avec ces pâtes à curry toutes prêtes. Notez le nom de la marque ; ceci est une coïncidence, mon pseudonyme ayant été trouvé ailleurs en lisant un roman de Franck Herbert.
Pas si hot que cela finalement : mon palais est maintenant plus accoutumé au curry Thaï. Mais cela reste toujours succulent. Pour preuve, la poêle à four ayant servi pour la cuisson a été léchée de façon tout à fait indécente.
Poulet, beurre, échalotes, et cette fameuse pâte. Il faudra que je le refasse comme avant : échalotes en premier et à roussir, rajout de morceaux de gingembre et de piment (pour que cela arrache vraiment), et de crème fraîche normande à la fin (bizarrement, je préfère le lait coco uniquement avec le curry vert).
Ah, et du riz basmati en accompagnement.