Bee die-hard user

Sueurs froides cette semaine…

En préambule, une personne d’expérience me signale que le ColdFire possède une MMU, mais étant très différente de celle du 68030, MiNT ne peut l’utiliser sans de très grosses modifications pour son mode Mémoire Protégée.

Tout allait plus ou moins bien cette semaine ; coder GFA en fenêtre, compiler très rapide, et tester le tout sans avoir le temps de se faire un thé. Plus de pause permise, et on en fait des nuits blanches. Le plaisir est là et il dure. Bref, in bed with the Bee.

Sauf pendant une compilation… freeze et crash disque. Reboot, la CompactFlash ne voulait plus être reconnue. Rien à faire. Donc, en frais supplémentaires : achat d’un lecteur de cartes USB pour les SD-cards et les CompactFlash, une SD-card 4 Go et une nouvelle CompactFlash 4 Go. Les deux de marque Sandisk, qui semble avoir bonne presse auprès des mes contacts. L’on loue en effet leur fiabilité.

Chuis trop vieux pour ces conneries les formatages

– formatage sur Mac : l’utilitaire disque ne fait que de la FAT32. Pour la FAT16 désirée, il faut passer par le Terminal et la ligne de commande, avec le programme newfs_msdos et sa tonne d’options imbitables. Quelques essais et prise de tête. Cela doit être faisable, mais franchement, là, j’abandonne.
– formatage sur PC : Windows ne veut formater qu’en une seule partition de 4 Go (donc FAT32). Il faut ne pas utiliser les fonctions système, mais il y a foultitude d’utilitaires de formatages. J’ai choisi le freeware Active Partition Manager. Multiple essais et échecs, jusqu’à arriver au Graal.

Paramètres importants :
– partition FAT16 pour le FireTOS (donc le boot et la lisisiblité sous le bureau de base)
– FAT16 : table d’allocation 16K
– la partition de boot (donc C:) doit être « active », le FireTOS ira lire le dossier AUTO de cette partition « active ».
Remarques :
– partition FAT32 possibles sous MiNT
– il est possible de faire des partoches ext2 pures MiNT, mais ce n’est malheureusement pas ma compétence.
– les FAT16 sont limitées à 2 Go

J’ai fait 4 partitions de 900 Mo. Avec cette bétise du 1 Ko = 1000 octets, je suis un peu perdu et préfère être sûr. Avec ces capacités surdimensionnées, tant pis si l’on perd un peu.

Ensuite, il existe des fichiers tout prêts. Téléchargement de l’archive MiNT préconfigurée, on dépose sur le C: et on replace la CompactFlash dans son emplacement sur la FireBee.
Bien sûr, pour les tests, retirer et replacer la CompactFlash s’est fait un bon nombre de fois. Le fabricant a calculé au plus juste, et on s’y fait avec un peu de dextérité.

Et Yahoo ! Cela remarche. Gros soulagement. Cela m’apprendra à faire de fréquentes sauvegardes.

Conclusion

Crash d’origine inconnue. L’ancienne CompactFlash est reformatée, et semble fonctionner sous Mac ou PC. Je suspecte mes nombreuses compilations et tests de mes logiciels GFA sur le disque D:, quoique c’est l’ancienne CompactFlash entière qui n’était plus reconnue. Problème électrique ? Problème de formatage sur cette CompactFlash préinstallée par le fabricant ? Mystère et boule de gomme. Il semble que je ne suis pas le seul dans ce cas. D’autres utilisateurs ont dû reformater et réinstaller eux-mêmes leur disque dur, puis tout est allé sans anicroche ensuite.
Si vous commandez votre précieux, achetez plutôt votre propre CompactFlash et apprenez par vous-même à l’installer. C’est dur, mais cela donne un max de points d’EXP et vous prépare en cas de problème.

Par contre, toujours choux blanc pour la SD-card. D’autres utilisateurs la font fonctionner sans problème. La mienne de 4 Go, formatée FAT16 à 900 Mo seulement, ne convient pas. Il semble qu’il vaut mieux une de 2 Go, mais ça va être dur à trouver dans le commerce. En tout cas, même si la partition n’est pas reconnue, sa présence dans le lecteur accélère le boot et le browser de zView.

C’est Naël

Je reste toujours très positif sur la FireBee. Malgré cette histoire de crash disque. On est toujours en version « alpha », donc réservé aux utilisateurs qui savent se débrouiller et ne vont pas aller embêter un SAV Suisse.

Pour anecdote : nombreux tests de la CompactFlash, donc carte à l’air libre, boitier sans capot, comme un vulgaire Falcon (ouais, VULGAIRE !). La couleur vert-sapin de la carte mère et toutes ces pitites LEDs multicolores qui clignotent… Accessoirement, la FireBee est une très jolie déco de Naël. PTDRXD.

One week with the Bee

Quelques remarques après la première semaine d’utilisation de la FireBee…

Du point de vue matériel

Superbe travail : bien pensé et réalisé. On penserait que la batterie est superflue mais, outre la sauvegarde de la RAM permanente et de l’horloge, elle sert aussi en cas de coupure intempestive du courant. Une sorte d’onduleur, pour ne pas corrompre les données sur les disques lorsqu’ils sont en cours d’écriture.
Il m’est arrivé de l’allumer sans mettre l’alimentation du transformateur (qui sert en journée à un disque dur externe) : après 30 minutes, écran noir, la FireBee qui a éteint sa LED bleue. Panique soudaine, ai-je endommagé le précieux ? Que nenni, après quelques secondes, la compréhension arrive. On rebranche, et tout redémarre. A noter qu’un son entre ronronnement et grésillement peut s’entendre lors du rechargement, avec dégagement de chaleur.

Toujours côté alimentation, le bouton marche/reset/arrêt est assez bien accessible, un peu trop même, c’est très facilement qu’on le touche lorsqu’on manipule ou déménage l’ordinateur (pour l’amener par exemple à une AmigaBouffe). Attention donc lorsque vous embarquez la bestiole ; le paquet ne doit pas serrer.

Du fait de l’épaisseur du boîtier aluminium, le câble RJ11 est un peu difficile à retirer. On y arrive avec dextérité et par le dessous. C’est que ce câble est d’origine et a plus de 25 ans, comme le clavier du MegaST. Si l’on adopte très facilement une souris USB, avec la rapidité de son déplacement, et que l’on vire la souris Atari pour sa lourdeur et lenteur, c’est assez difficile de se passer du clavier Atari. Question de réflexe et positions de touches, surtout avec l’éditeur du GFA Basic.

Question USB, insérer une clef à chaud est possible, mais bloquant (au moins sous MiNT). Le clavier répond, mais plus les souris. Il faut l’insérer avant le démarrage pour qu’elle soit bien reconnue, et on peut la retirer et la rebrancher en cours de route sans problème ensuite.

Côté lecteur de SD card, je n’ai pas encore réussi à en faire lire une, mais j’ai fait ça sans sérieux. Très possible que cela fonctionne, mais il faut que j’achète une SD card au lieu de l’emprunter et cherche le mode d’emploi.

VGA ou DVI ? Préférez de loin le DVI. J’ai pu essayer le VGA avec un convertisseur mais le résultat est pourrave sur un écran LCD. Pas de parasites que certains ont pu le rencontrer, apparemment c’est nickel à ce niveau. Mais le nouveau moniteur HP 2211x acheté pour l’occasion zoome très mal l’entrée VGA, alors que c’est parfait en DVI. Pour les moniteurs, préférez aussi les 4:3 plutôt que les 16:9, la résolution native du HP est de 1920*1080, mais sa plage de fréquence n’est pas assez tolérante pour la FireBee. Je peux faire du 1400*1050 mais c’est assez écrasé. Pour l’instant, c’est du 1366*768, en attendant que je puisse bricoler une résolution de 1440*900.
La détection de la résolution idéale du moniteur par la FireBee est une bonne idée, mais elle empêche de migrer facilement d’un moniteur à l’autre. Du Sony SDM 19″ 4:3 au HP 2211x, j’ai eu des difficultés pour l’affichage. Ecrans noirs sur écrans noirs. Résolu en accédant au FireTOS (option 3 au démarrage) sans MiNT, sur le Sony, puis en allant dans le fichier xa_video.cnf et commentant la ligne video. On retourne alors au mode 640*480 de base et accepté par tous les moniteurs. C’est assez bizarre de retrouver sur le bureau « de base », mais avez un formulaire de choix de résolutions assez étendues, dont ceux Atari d’origine avec le monochrome, 2 et 16 couleurs.
Un formulaire existe sous MiNT pour choisir et surtout tester la résolution avant de valider et redémarrer. Assez jouissif, quoique la liste des résolutions proposées est une peu fouillie (sur la taille de la liste, on aimerait un tri). Contrairement à ce que j’ai dit dans un billet précédent, le mode TC32 est bien présent. La « rapidité » est la même qu’en TC16. Le mode 256c n’est pas vraiment utilisable car les icônes apparaissent comme des carrés noirs : il y a peut-être à configurer dans xaaes.cnf

Pour l’Ethernet, on branche et ça marche direct. Merci le DHCP sous MiNT. Le défaut est que l’on ne connaît plus l’adresse IP (sans doute rechercher via un terminal). Netsurf et les produits Draconis marchent d’emblée. Mais pour les clients qui fonctionnent avec STinG, il y a une manipulation à faire. Gluetick est à chercher en dernière version et installer dans le mint.cfg avec « exec /chemin/gluetik.prg –force » (merci JFL). Car figurez-vous que STinG est déjà intégré au FireTOS ! Le cookie STiK existe, et il sert au FireTOS (sans MiNT) pour faire du net. L’on configure alors l’IP via le CPX du FireTOS. L’on doit donc utiliser l’option « –force » pour oublier la couche STinG déjà présente et que Gluestik traduise les appels pour la couche MiNTNet.

A préciser : certains composants ne sont pas encore intégrés dans le FPGA (le DSP en particulier), certaines choses pas encore finalisées (port PS/2, port ASCI, le SCSI aussi ?), mais le nombre de ports déjà fonctionnels rend cette version « alpha » très bien utilisable.

Des années de travail pour l’équipe Atari ColdFire. Sans fanfaronnade ni annonce grandiloquente. Du discret sérieux qui force le respect. Grand merci à eux.

Du point de vue logiciel

L’on penserait qu’avec la puissance du ColdFire, l’on aurait un affichage surper-rapide. Ce n’est pas aussi simple. Je déteste comparer les tailles de verges et les calibres de melons, parce que ça ne sert qu’à flatter les egos et à dénigrer la concurence. C’est typiquement masculin et je suis heureux de faire partie des déviants. Mais si vous voulez une idée, niveau affichage, on a l’impression d’avoir un Falcon+CT2. Le mode TC16 est confortable et relativement rapide pour ceux qui n’ont connu que le Falcon de base. Et ceci avec des résolutions assez grandes. Je ne vois pas trop de différence entre TC16 et TC32 bien qu’il y ait deux fois plus de bits à transférer. Ceux qui possèdent une carte graphique PC dans leur Atari seront déçus. Mais justement, il n’y a pas de carte graphique. Et avec un fond de panier plus une carte ATI Radeon… Cherchez sur le net, ça se fait, pour l’instant en essais.
Il semble qu’il y ait par ailleurs quelques bogues dans le Videl ou la VDI du FireTOS. A corriger et optimiser. Car ce qui est cool, c’est que le TOS et le FPGA peuvent être reflashés, donc le matériel peut être amélioré sans changer de machine.

Niveau puissance intellectuelle de calcul, alors là, c’est le jackpot. Le source de DGEM est compilé en 7-8 secondes, alors qu’il fallait 4-5 minutes sur le MegaST. Et on est ici en émulation 68K. Si les programmes sont compilés (et non pas uniquement patchés) pour le ColdFire, alors ça dépote bien.

Le navigateur internet NetSurf n’est pas encore assez stable, mais son existence et portage est déjà une performance. Sans rapport, MiNT et XaAES deviennent très utilisables et on y prend goût. Pour quelqu’un qui préférait plus MagiC, c’est un signe. Défaut du ColdFire, pas de PMMU, donc pas de mode mémoire protégée. Dommage, car j’avais travaillé mes logiciels pour, mais Aranym à côté peut être lancé pour tester et rendre propre les logiciels. Pour les MiNT hardcore users, il faudra compléter l’installation. Le disque D est peut-être là pour personnaliser la pré-installation et faire une partition mint ext2.

Je n’ai pas eu le temps de tester beaucoup de logiciels. Etant focalisé sur les miens, qu’il faut pour la plupart recompiler à cause de petits détails (qui peuvent générer un crash de l’appli), je constate que la compatibilité semble assez bonne. Il faut être GEM et propre. J’ai eu à faire à ce genre de migration avec l’arrivée de MagiC Atari, puis de la carte Eclipse+ATI Rage IIc.
Il faudrait quelqu’un se dévoue pour faire une tonne de tests, faire le tri dans les logiciels déjà présents, je n’ai pas malheureusement pas le temps.

Pour finir ce billet…

C’est toujours en « alpha » donc non exempt de bogues connus ou à découvrir. Mais je n’ose imaginer la qualité de la « final edition » lorsqu’on voit l’excellence que je contaste en face de moi.

Pour ce qui est du prix : cela vaut très largement les 750 Euros (HT) déboursés. Si l’on a dépensé tout son budget en Falcon + CT60 + CTPCI + carte PC + etc, je comprends que cela paraisse élevé. Il faut aussi avoir le temps de l’utiliser. La FireBee est trop rare pour la laisser trainer dans un tiroir ou faire doublon avec un Falcon surbidouillé.
C’est cool parce que ce n’est heureusement pas mon cas XD

g33k pr0n

Quelques vues de très très près. L’art de photographier ou filmer le désir et le nu en gros plans a un nom, mais je l’ai oublié. Un appareil photo numérique a été utilisé, mais votre serviteur n’est pas très pro dans ce domaine. Les photos sont libres de droits et peuvent être affichées ailleurs, mais prière de ne pas en foutre partout.

Pour la légende, il y a un PDF qui va bien sur le site firebee.org

The unboxing

Le Père Naël a sonné deux fois. Il était déguisé en postier, mais je l’ai reconnu sous son déguisement et son maquillage. Le colis était léger : 600 grammes et venant de Suisse.
Ce n’était pas du chocolat, mais je commençais déjà à saliver d’envie.
Ouverture !

Vous me pardonnez, mais ce fut sans gants blancs. Les vignettes sont cliquables, le mode zoom permet de naviguer avec les touches fléchées gauche et droite. Désolé pour la faible qualité, j’ai fait avec les moyens du bord et sur le vif, avec la fonction photo de mon iPod Touch 4G.


Il a fallu de la modération pour ne pas déchirer le paquet comme un barbare.

Heureusement qu’on ne m’a pas pris en photo, mes yeux devaient avoir quadruplé de volume, comme Will E. Coyote voyant un Roadrunner rôti sauce curry.

Le doute est levé, c’est bien elle. « Alpha edition ». On est toujours en développement et tests, et il est logique de penser qu’un jour, ce seront des « Final edition » qui seront produites.

Le dos de la boîte : cela fait très pro, on a du mal à intégrer le fait qu’il s’agisse de la version « alpha ».

On fait coulisser le papier glacé noir, et l’on se retrouve avec le carton lui-même.

Voilà ce qu’on obtient après avoir soulevé une sorte de polystyrène.
A noter que les deux rouleaux ne servent pas qu’à bloquer le boitier, déroulez-les et conservez-les bien, car ce sont les plans pour devenir Maître du Monde. Mouaaaaahhahhahaahhhh !!!!
Plus sérieusement, c’est à ce genre de petits détails rajoutés qu’on reconnaît un travail bien fait et bien pensé. Ah, oui, et il y a une brochure aussi. Attention car il faut la déplier :
 
 

Et la bestiole fut touchée et sortie de son emballage. My preeeeciooussss!!!!
 

Même si la qualité n’est pas la même, j’ai eu l’impression de sortir un appeule Mac mini. Mieux : plus léger, aucune pièce mécanique, aucun ventilateur, presque autant de ports USB… Le détail qui tue : la peinture du boîtier possède, en plus de la couleur, la texture en peau d’orange de l’Atari ST.

Pas de risque au début, on prend le clavier et souris du MegaST, la connexion vidéo est le DVI-D du moniteur du mediacenter, et le transfo utilisé est celui d’un disque dur externe (après avoir bien vérifié voltage, ampérage et polarité sur les notices).
Hum… il manque quelque chose…


Voilà, maintenant c’est parfait ! XD


Bon, ben, ça s’allume, mais ça prend pas feu. A noter qu’il n’y a qu’un seul bouton pour allumer ET reseter ET éteindre. Cela reste intuitif, on s’aide avec la LED sur le devant, et on joue sur les délais (qui sont raccourcis par rapport à ceux que l’on peut entendre sur une vidéo youtube).

Un demi-GIGA de RAM ???? Mais comment on fait pour remplir ça ? Sur Mac ou PC, c’est facile, mais sur Atari, le concept est si nouveau que mon cerveau a vraiment du mal. (@GdM: oui, okay, avec la PAO). A noter que comme sur MacBook Air, la RAM est soudée et non extensible. Pour les 2 Go de RAM (limite du TOS), si vraiment c’est nécessaire, ce sera peut-être pour une « Gold Edition ».

Le PCI… Si vous consultez le site de Didier Méquignon, vous savez qu’avec un fond de panier, on peut rajouter des cartes PCI (donc une carte vidéo). La vidéo qui sort est générée par le Videl virtuel du FPGA. On a recensé des problèmes avec la sortie vidéo analogique (VGA) sous la forme de parasites, mais là, en DVI-D(igital), c’est nickel.

Puis l’USB… On arrive ensuite sur l’initialisation de MiNT préinstallé avec ouverture de NetSurf (un client web) et une page web de bienvenue. Petit clin d’oeil à appeule ? Le fond d’écran bleu fait aussi penser au fond d’écran MacOSX Tiger. Préinstallé, préconfiguré, la majorité des logiciels, utilitaires et configurateurs ont un fichier texte explicatif. Ils pensent à l’utilisateur de base. Bravo ! On change la résolution, celle de base étant le 640*480*TC16 et on branche des trucs sur les ports USB, on fixe le langage dans le CPX qui va bien. Deux remarques : le desktop.inf est en lecture seulement, il faut le mettre en écriture pour ne plus avoir à choisir le bureau les fois suivantes, et il faut déclarer un setenv HOME dans MiNT.
Reboot…

Tout est détecté : clavier usb, souris usb, clef usb. Et ça marche ! le clavier est correctement mappé, la souris usb marche (même la molette pour les logiciels qui gèrent cet événement), et les fichiers sur la clef sont accessibles. J’ai même installé mon KK Commander, dézippé les archives situées sur la clef usb, les répertoires de destination étant sur le disque D.
Pour être poli, j’ai halluciné et je n’en revenais pas. Pour être franc, il m’est poussé un second trou de balle. De l’USB sur Atari !!!! Et bien oui. Pour les fonctions de base, hein. On n’ira pas demander de la webcam ou une tablette graphique… quoique… J’ai fait un test sans clavier et souris Atari : les clavier et souris USB sont reconnues dès le démarrage. Le FireTOS biiiippp à son lancement car il ne détecte pas le clavier du MegaST, mais c’est réglé en tapant une touche sur le clavier USB.

1280*1024*TC16. Je n’ai pas vu le mode 32 bits dans le sélecteur de configuration, mais je m’en fous, il est inutile. NVDI est aussi installé par mes soins (j’avais pu sauvegarder le disque dur de mon Falcon avec Litchi, lucky me) et patché selon les instructions. Niveau affichage, ce n’est pas un foudre de guerre, mais ça le fait. C’est confortable, ça marche et pour le peu que j’ai testé (en gros, mes logiciels) la compatibilité semble très bonne.

D’autres petits articles suivront, donc stay tuned. Prochaine fois, je donnerai dans le g33k-P0rn ; il y a déjà des photos de la carte nue et en gros plan sur le web, mais à l’instar du sexe en ligne, on oublie et on en veut toujours. Et puis il y a tant de choses à tester : le lecteur sd card, l’ethernet (qui parait-il est : « on branche, ça marche, rien à configurer »), etc. A noter que certaines choses ne marchent pas car en cours de développement (port PS/2, ASCI, SCSI ?) et il manque des choses dans le FPGA (on parle d’un DSP, mais bon, c’est juste pour le fun car le ColdFire est bien plus puissant).

Plus sérieusement, j’adresse toutes mes félicitations au fabricant et à l’équipe de développement pour ce bijou technologique. Bien que non fini, c’est déjà de l’excellent travail.
Bon, c’est pas tout, mais j’ai du code à pondre et à torcher… The FireBee gave me new Mojo, so behave, baby: I’m back!

fVDI files

See snapshot– fVDI Configurator generates the FVDI.SYS file with a GEM interface, ST-Guide documentation and BubbleGEM help.
– fVDI Commander replaces the fvdiacc.acc of the official release. This accessory controls fVDI, advised for Eclipse/RageIIc users.
– fVDI Snap generates screen snapshots (works in all ST and Falcon modes, and in TC16 RageIIc mode, still in developpment).
– Rage Screen Saver (RageCalm) is an accessory or an application, provided for ATI Mach64 family video card (especially the Eclipse/ATI RageIIc).
The display of the card is set off after a period of inativity, so the monitor puts itself in sleep mode.
Here the files I used on my Falcon with the Eclipse and ATI RageIIc.

Get more informations at the author website

Archive Size Version Date
English fvdiconf.zip 94131 bytes for fVDI 0.959 May 8th 2008
fvdicmd.zip 44881 bytes 1.0B
ragecalm.zip 46631 bytes 1.1B
fVDI Snap 20.0 KB 1.1 August 2013

Except fVDI Snap, these programs are not compatible with ColdFire.

Lynx C DevKit for Atari ST

This package/suite is a ST conversion of the newcc65 files: a C compiler and utilities for games and demo development on the Atari Lynx. Recompilation was made on the gcc cross-compiler 68K under MacOSX environment (thanks to Philippe Donzé) and now some with PureC or simply rewrote with GFA Basic.

If you want more info on Lynx development:
– Le forum Lynx de Yaronet.
– on AtariAge (with Handy emulator and forums).
– Bastian Schick, Matthias Domin and Bjoern Spruck.
– LynxWeb.

Archive Size Version Date Notes
English 68K 455091 bytes 0.2.0 05-15-2006 Xcode, bash, PureC and GFA Basic
Sources 748404 bytes

Not compatible with the ColdFire.

La carte Eclipse

Premièrement, toutes mes excuses pour le retard. La décision, la commande, l’attente, la réception, l’installation et les tests sommaires ont été plus qu’éprouvants. J’ose espérer que mon esprit a maintenant retrouvé la place qui était la sienne et que les fortes émotions se sont calmées.
La dernière fois que j’ai eu ce genre de dérangements, eh bien, oh coïncidence, c’était lorsque j’ai commandé mon Falcon chez Apak en 1996.
Continuer la lecture de La carte Eclipse

Le MegaST

Nom de code : Nef
Usage : codage GFA, comptabilité, Calamus S

C’est un Atari MegaST4 mis en tour. Il correspond à la configuration que j’ai eu juste après le BAC. Seul le clavier est d’origine. Le SM124 a été remplacé par un SM144. La carte mère Mega1 avec carte RAM a été remplacé par un vrai 4 Mo.
Les images montrent une carte graphique Viking (1280*960*duochrome), mais elle a été bazardée car le moniteur MONITERM qui va avec est encombrant et a la fâcheuse tendance à tomber en panne.
Une carte EtherNEC a été rajoutée, pour faire du réseau, et ne plus jouer au grille pain avec la disquette ou la zipette.

Blaise

See snapshotFrench Blaise 2.25 (131988 octets, 29 Juillet 1998).

Intégré comprenant un éditeur de texte, un viewer et un shell
pour le raytracer Persistence Of Vision.
Fonctionne avec 1Mo, mais nécessite 2Mo pour fonctionner avec POV en même temps en mémoire. Livré avec le source en GFA.

Non compatible avec le mode Memory Protection de MiNT.
Non compatible avec le ColdFire.

Xport2

See snapshot
French Xport 2.5 (43272 octets, 16 Juillet 1998).

Sert aux tranferts de textes entre un Atari ST et le Portfolio.
Fonctionne avec 512Ko, nécessite un câble null-modem et l’interface série du Porfolio. Livré avec le source en GFA et documentation en HTML.

Non compatible avec le mode Memory Protection de MiNT.
Non compatible avec le ColdFire.